Directeur des mobilités routières

Avec Titulaire

  • Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

  • Administration centrale

  • Direction générale des infrastructures, des transports et des mobilités

  • Direction des mobilités routières

Dernière mise à jour : 29/11/2023 15:40

Titulaire

Sandrine BERNABEI CHINZI

Depuis le : 02/03/2022

Compétences liées au poste

  • Politique des transports

  • Gestion / Maîtrise des risques technologiques

  • Gestion / Maîtrise des risques naturels

  • Gestion des infrastructures

  • Sécurité routière

  • Tutelle opérateur

Domaines fonctionnels

  • Territoire et développement durable

Contact

01 40 81 12 13

Tour Séquoia 1 place Carpeaux 92800 Puteaux

Description du poste

Le directeur/la directrice des mobilités routières, assisté(e) d’un(e) adjoint(e), assure le pilotage de quatre sous-directions et de deux départements, soit près de 170 agents. Un des enjeux du poste est la planification, en tenant compte des objectifs de la transition écologique et de l’évolution des usages, des grands projets de développement des infrastructures de transports routiers sur le réseau routier national, ainsi que la coordination des services chargés de l’exploitation de l’entretien et de la modernisation du réseau routier national non concédé. La direction définit et met en œuvre la réglementation et la régulation économique des transports routiers de marchandises et de personnes et assure la prise en compte de la transition écologique et de la transformation numérique sur le périmètre de ses missions. La direction définit en outre les modalités de financement des projets d'infrastructures routiers sur le réseau routier national et veille à sa cohérence. Enfin, elle élabore les contrats de concessions d'autoroutes relatifs à l’aménagement du réseau routier national et en assure le contrôle. Les candidats au poste doivent avoir une bonne connaissance des politiques publiques en matière de transport et doivent démontrer des capacités à encadrer des agents de haut niveau. Ils doivent faire aussi preuve d’une aptitude à dialoguer et à négocier avec des partenaires nombreux et de haut niveau (cabinets ministériels, parlementaires et élus, directeurs d’administration centrale, dirigeants d’entreprises publiques, acteurs économiques...)